Bien sûr, c'est un souvenir famillial, de gens qui y ont travaillé, de promenades à pied, le long du jardin de là-bas... au coeur des montagnes... Les piliers n'étaient plus droits et la porte partait en morceaux... Mais c'était beau quand même et peut-être même à cause de cela...
Pascaline Hamon, "jardin ardéchois... de guingois...", aquarelle sur papier cellulose, mars 2016.