Zurbaran se tenait là
Couché dans les sables
La tête fichée dans les nuages...
Le ciel acide se remplit
Des couleurs du soleil.
Reja, Jerez,
Les portes aujourd'hui se ferment...
Le voici ténébreux, veuf et inconsolé,
Mais dans la peinture
Il ne restait plus rien
Que l'ombre d'un souffle
Qui passait sur le monde.
Reja, Jerez,
Les portes aujourd'hui se ferment...
Et un monde se referme...